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 Tom Marvolo Riddle

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Tom Riddle

Tom Riddle

Messages : 21

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MessageSujet: Tom Marvolo Riddle   Tom Marvolo Riddle EmptyDim 9 Juin - 21:23


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Ministère de la Magie


Carte d'Identité


Noms & Prénoms
RIDDLE Tom Marvolo
Emploi
Briseur de sortilèges pour Gringotts


Établissement Fréquenté Poudlard
Maison Serpentard
Sang Mêlé
Baguette IF - plume de phénix - 33,75cm - RIGIDE
Patronus boa constrictor
Epouvantard la faucheuse
Amortentia l'odeur du sang, l'odeur de la peur, l'odeur de la mort

Signature du Titulaire
Tom Marvolo Riddle




Date de Naissance 31 décembre 1926
Couleur des yeux marron
Couleur des cheveux bruns grisonants

Tom Riddle


Date d'embauche Juillet 1969
Featuring Ralph Fiennes

Signature du Ministériel supérieur





Logo Ministère


Histoire



C’est durant le dernier jour de l’année 1926, que ma mère me donna la vie dans ce sinistre orphelinat avant d’y laisser la vie une heure plus tard, me nommant avant cela Tom Marvolo Riddle. D’après le personnel, le prénom Tom me viendrait de mon père, celui de Marvolo de mon grand-père et finalement Riddle serait le nom de mon père. Tout ça pour dire que ma mère est morte et mon père aussi mais pas à cette époque. Autant le dire, mon père n'est qu'un lâche, qui n'a pas accepté d'avoir une sorcière pour femme, bien que je n'appris cela que bien des années après ma naissance.

Mon enfance je l’ai vécu dans un orphelinat, j’étais assez déconcertant comme nourrisson, puisque je ne pleurais que très rarement. En grandissant, je n’étais guère apprécié et appréciable, pourquoi cela ? Je n’étais pas l’enfant le plus sympathique du monde, je m’arrangeais pour faire du mal à mes camarades orphelins et à leur voler leurs affaires, mais cela sans avoir besoin de le faire de moi-même, la magie m’aidant bien que je ne me savais sorcier à cette époque. Mon pire acte fut de pousser un orphelin à pendre le lapin de son ami. C’était un passe-temps très agréable, mais qui me faisait perdre un temps considérable, puisque mon comportement inquiétait le personnel de ce que je devais appeler ma maison et me força donc à rencontrer bon nombres de spécialistes. En plus de cela, on tentait de me faire adopter par des couples idiots, je m’arrangeais toujours pour ne pas l’être alors même que j’étais clairement déconseillé à l’adoption à cause de mes divers troubles. Après, il faut aussi dire que j'ai toujours porté un regard froid sur quiconque m'entourant, tout ces gens ne méritaient pas que je m'intéresse à eux. J’ai découvert très tôt mes dons et par hasard un autre don, celui de converser avec les serpents. Une couleuvre était en train de serpenter dans la cour de l’orphelinat et je m’apprêtais à l’écraser avec une pierre sans aucun scrupule et uniquement par plaisir quand je l’entendis me supplier de lui laisser la vie sauve. Elle n’eut la vie sauve uniquement parce qu’elle put m’en apprendre plus sur le fait que je pouvais la comprendre et lui parler dans sa langue. Dans mes actes peu avouables pour quelqu'un d'autre que moi, j’ai forcé un de mes camarades à aller dans l’eau alors qu’il ne savait pas nager cela sans l’approcher.

C’est l’été après mes onze ans qu’Albus Dumbledore vint me rendre visite et je le pris tout d’abord pour un autre médecin. Il me prouva ses dires en me démontrant qu’il était bel et bien un sorcier, mais en dévoilant ma boite à objets volés. Il m’indiqua qu’à Poudlard le vol n’était pas toléré. Il me proposa également de m’accompagner sur le chemin de traverse pour faire mes achats pour la rentrée ce que je refusais tout nettement assurant que j’irais par moi-même. Je lui demandais cependant s’il était répandu dans le monde sorcier de pouvoir converser avec les serpents question à laquelle il ne me répondit jamais. Je me rendis sur le chemin de traverse le lendemain, ma bourse de Poudlard en poche et un peu de monnaie de l’orphelinat pour prendre le bus pour me rendre dans cette partie de Londres. Mes courses me prirent la journée, comme je ne connaissais pas le monde magique. Je m’arrêtais chez Ollivanders en voyant la devanture et j’en ressortis après bon nombre d’essai avec ma baguette en if et plume de phénix. Le reste des achats furent plus complexes, surtout au magasin de vêtements sorciers pour mes uniformes cela était nouveau pour moi, surtout qu’à l’orphelinat nous étions forcés de mettre les vêtements que le peuple acceptait bien de nous donner.

Je ne pus me permettre comme achat supplémentaire que l’histoire de Poudlard, mes finances étant bien trop serrées pour me permettre plus, la bourse de Poudlard n’étant pas bien haute et j’avais privilégié des uniformes neufs et ma baguette.

Je me rendis seul à King Cross le jour de la rentrée et je montais dans le train une bonne demi-heure avant l’heure du départ. Arrivé à Poudlard, ma répartition ne fut pas une grande surprise pour moi après avoir lu l’histoire de Poudlard et la particularité familiale de Salazar Serpentard, je savais être l’un de ses descendants puisque je pouvais parler le fourchelangue et sans surprise, je fus réparti dans la maison de mon ancêtre. J’entendis parler de la chambre des secrets le soir même et me mis en tête de la retrouver. Je fus un élève exemplaire avec une soif d’apprendre insatiable et surtout je savais comment parler à mes camarades et professeurs pour obtenir ce que je voulais. Je savais que je pouvais toujours obtenir tout ce que je désirais, cela avait toujours été ainsi. Lorsque la fin de l’année approcha, je me rendis dans le bureau du directeur, en voyant que je devrais quitter Poudlard qui était devenue ma maison pour retourner dans ce lieu sordide qu’était l’orphelinat. J’allais donc plaider ma cause auprès d’Armando Dippet, directeur de l’école en ce temps-là. Sa réponse fut dans un premier temps négative mais je ne voulais m’avouer vaincu, il réitéra sa réponse, mais me proposa de me trouver une famille d’accueil pour l’été et même peut-être pour plus longtemps, si cela nous convenait et qu’il trouvait. Il m’invita à revenir après mon dernier examen, soit une semaine avant la fin de l’année scolaire pour qu’il me donne des nouvelles.

C’est ainsi que directement après mon dernier examen, je me rendis à pas pressé vers son bureau. La gargouille me laissa passer sans mot de passe, comme si elle m’attendait. Une fois en haut des escaliers, je toquais à la porte et fut invité à rentrer. Le directeur m’attendait assis derrière son bureau. Il me parla longuement et me demanda si j’étais bien informé sur le fait que dans le monde sorcier, il était toléré de vivre en couple avec une personne de même sexe, ce qui était répréhensible dans le monde moldu. Je lui signifiais que j’avais eu le loisir durant mes heures à la bibliothèque de me cultiver sur les us et coutumes du monde sorcier, ce qui le fit sourire. C’est cet instant qu’il choisit pour m’annoncer qu’il avait trouvé un couple de femmes qui était prête à m’accueillir chez elles durant la totalité des vacances d’été et qu’elles seraient même prêtes à m’adopter si nous en venions tous trois à vouloir une telle chose. Je signifiais au directeur que j’étais d’accord. Je me disais que rien ne pouvait être pire que de retourner chez ses sales moldus et leurs esprits trop fermés pour comprendre mes besoins et qui me conduisaient inévitablement chez tous les médecins de Londres. Il fut convenu que je ne prendrais pas le Poudlard Express cette année pour rencontrer mes deux gardiennes dans l’enceinte de Poudlard avant de partir avec elles pour leur domicile.

J’attendais patiemment dans le hall alors que la dernière calèche venait de partir quand j’entendis le directeur m’appeler. Je me retournais pour voir deux femmes dans la trentaine l’accompagnant. Elles semblaient froides mais en même temps sympathiques, à l’image de certains de mes camarades de classe de Serpentard. Elles se présentèrent l’une après l’autre, l’une se nommait Agathe Delcroix et l’autre Saoirse O’Callaghan. Je fis de même et Agathe réduit mes affaires pour les mettre dans sa poche avant de m’annoncer qu’on rentrait en portoloin en m’expliquant ce dont il s’agissait puis en me montrant une écharpe de Serpentard. Je ne lui avais pas avoué savoir ce qu'était un portoloin, je ne voulais pas manquer ma chance de passer au moins un été loin de l'orphelinat. L’atterrissage fut pour le moins laborieux pour moi mais elles me promirent de m’apprendre à atterrir avec élégance à l’avenir. Nous nous trouvions devant une élégante maison, voir même villa dans un décor très verdoyant. J’appris que nous étions en Irlande, dans la demeure de Saoirse, puisque les possessions de la famille d’Agathe se trouvaient essentiellement en France et dans le sud de l’Angleterre.

Je m’adaptais rapidement aux deux femmes, qui entreprirent de m’apprendre à agir comme un sorcier de sang-pur ce qu’elles étaient toutes deux et je m’en trouvais que plus satisfait. Cependant, je me demandais bien pourquoi deux sorcières de sang-purs, accueillaient un gamin comme moi venant d'un orphelinat moldu, je n'avais après tout aucune preuve d'être de sang-pur, supposant même à cette époque que ma mère était une moldue. Je vis dans le fait de vivre avec ces deux femmes une opportunité, elles pourraient peut-être m’en apprendre plus sur mon père, sur lequel je n’avais trouvé aucunes informations dans les archives de Poudlard. J’étais pourtant sûr que c’était lui le sorcier de mes deux parents. J’attendais pour les questionner que nous ayons plus confiances les uns dans les autres, si cela est possible. L’été suivit son court tranquillement et dans une ambiance assez sécurisante, je pouvais être moi-même sans qu’elles ne tentent de m’envoyer chez des médicomages, bien qu’elles me reprenaient parfois sur certains de mes comportements. Disons que pour des sang-pures, elles ne partageaient pas vraiment la même idéologie que moi, loin de prôner avec autant de ferveur la suprématie du sang. J'étais sûrement déjà très extrémiste à cette époque et pour moi, éliminer les moldus revêtait d'un passage nécessaire pour la survie des sorciers.

Nous passâmes la totalité de l'été en Irlande, j'appris la danse avec Agathe, qui avait de grande connaissance en la matière. Saoirse aimant ma soif d'apprentissage, s'appliqua à m'enseigner les rudiments des runes, de l'arithmancie et quelques potions plus avancées que celles que j'avais apprise à Poudlard. Quelques jours avant de repartir à Poudlard, elles me proposèrent une adoption que j’acceptais, ayant trouvé une place dans cette famille et je devais bien l’avouer, heureux d’avoir trouvées des personnes voulant bien de moi. Je ne pris cependant le nom d'aucune d'entre elles, préférant garder mon propre nom, d'une part parce qu'il était mien et que je le pensais sorcier et d'autres part, parce que je ne me voyais pas choisir de prendre le nom de l'une plutôt que celui de l'autre.

Je retournais à Poudlard pour une nouvelle rentrée, avec une famille, ce qui me semblait étrange. Je poursuivais cependant mes recherches sur mon père, sans ne jamais rien trouver, je finis donc par chercher du côté de ma mère. Là, je trouvais des informations et je compris que c’était bien elle la sorcière des deux, mais pourquoi était-elle morte alors ? Du haut de mes treize ans à l'époque, je n'arrivais pas à concevoir que même une sorcière pouvait mourir en couche et je n'arrivais pas à comprendre son choix de me mettre au monde dans un orphelinat. Je ne trouvais pas plus d’informations dans les archives et il me faudrait en chercher ailleurs, peut-être chez mon grand-père ou mon oncle, que j'avais découvert eux aussi dans les archives de l'école. Pour Noël, Saoirse et Agathe me proposèrent de venir à la maison qu’on passe les fêtes en famille. N’ayant jamais vécu de telles choses, j’acceptais avec curiosité, mais je me trouvais également face à la nécessité de leurs trouver à chacune un cadeau. C'était loin de mes habitudes d'offrir quoi que ce soit à qui que ce soit. J'étais bien trop égoiïte pour faire une telle chose. Cependant, je considérais qu'elles méritaient bien mon respect toutes les deux, pour avoir d'une part accepté de m'accueillir pour l'été et pour ensuite avoir exprimé l'envie de m'avoir pour fils adoptif. Heureusement, elles m’avaient donnés de l’argent pour que je puisse l’utiliser en cas de besoin. J'utilisais donc cet argent pour leurs trouver des présents.

Je me créais ma propre identité par anagramme, ce qui donna "I am Lord Voldemort" durant ma seconde année. Je n’utilisais ce pseudonyme qu’avec les serpentards que je gardais proches de moi comme Abraxas Malefoy. Je voulais que cela reste dans un groupe restreint, j'avais l'ambition d'élever les sorciers de sang-pur à leur rang légitime après ma sortie de Poudlard. Je visais le poste de ministre de la magie, rien de plus, rien de moins à cette époque-là.

Noël fut rapidement à notre porte et Saoirse m’offrit un hibou grand-duc du cap quand à Agathe, elle opta pour des livres dans toutes les matières possible et imaginable, mais aussi un petit journal pour que je puisse y inscrire ce que je désirais. Je passais un bon Noël et je m’attachais à ces deux femmes, sans réellement m’y attacher, comme si je n’y parvenais pas.
Les années se sont ensuite succedées, entre mes recherches de la chambre des secrets, les enseignements de mes gardiennes et les regards suspects de Dumbledore, le professeur de métamorphose. Je ne pouvais vraiment pas le sentir ce Dumbledore et je n'appréciais pas qu'ils m'épient de la sorte. Ce n’est qu’en 1942, lors de ma sixième année, que je découvrais la chambre des secrets, un lieu superbe et surtout j’en découvris le plus grand secret, le basilic. Il me fallut la convaincre que j’étais un héritier de Serpentard et surtout la convaincre de ne pas ouvrir les yeux pour me tuer, mais finalement, j’y parvins et je l’envoyais accomplir sa tâche de tuer les sang-impurs ayant envahis l’école de mon illustre ancêtre. Les premières tentatives furent vaines, elle ne parvint qu’à pétrifier les élèves, ce fut une tentative inattendue qui la conduisit au meurtre de Myrtle Warren, alors qu’elle sortait d’une cabine de toilette et qu’elle croisait le regard de mon adorable amie reptilienne. Après ce meurtre, Dippet menaça de fermer l’école et je trouvais un coupable parfait en la personne de Rubeus Hagrid, qui détenait une acromentule dans l’école. Je le fis expulser pour pouvoir venir finir ma dernière année à Poudlard même si cela me désolait de ne pouvoir accomplir les volontés de Salazar Serpentard en éradiquant tous les sang-de-bourbes de l’école.

Durant l’été suivant le meurtre de Myrtle, je commis mes premiers meurtres après avoir cherché des réponses et mes victimes n’étaient autre que mon père et mes grand-parents paternels, s’en suivit celui de Marvolo Gaunt et pour tous ces meurtres, je réussis à forcer Morfin Gaunt, mon oncle à s’accuser. Il finit à Azkaban et je me rendis à Gringotts pour posséder finalement mon accès légitime aux coffres des Gaunt, étant le fils de Merope. On ne me soupçonna jamais, car Agathe affirma aux aurors que j’avais passé la journée dans la maison avec elle. Bien qu’après elle me questionna sur les évènements et me fit bien savoir qu’elle n’admettait pas un tel comportement qui pouvait m’envoyer à Azkaban et m’éloigner de Saoirse et elle. Je dois bien avouer que cela m’était un peu égal, j’avais tout planifié, rien ne pouvait se retourner contre moi. De plus, j'avais eu envie d'avoir ces réponses et surtout je voulais assouvir ma vengeance et faire disparaître cette ascendance moldue de mon existence. Je ne voulais pas qu'on me relie à ses gens.

Pour mon entrée en septième année, je fus nommé préfet-en-chef et je pus profiter de tous les avantages que cela me conférait. Je passais mes examens avec brio et vint le moment de choisir une orientation, je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire, je savais uniquement une chose, dans la vie, j’aimais donner la mort et je ne voulais surtout pas en être victime. J’étais même en train de faire des recherches afin de rassembler les trois reliques de la mort, pour qu’elle ne puisse jamais m’atteindre. Malheureusement les traces de ces reliques étaient perdues depuis longtemps et on ne pouvait réellement affirmer qu’elles avaient toutes existé.

Les deux femmes qui étaient ma famille ne me mirent pas à la porte alors que je sortais de Poudlard comme je m’y attendais. Je pus vivre chez elles sans qu’elle ne m’incite à partir et je leur fis par de mon désir de voyager à travers le monde. Elles me prodiguèrent les moyens financiers pour mes déplacements, mais me dirent de me débrouiller autant que possible pour me payer le gîte et le couvert, bien qu’en cas de besoin elles seraient là.

Je partis d’abord pour l’Europe et je trouvais comme solution pour me loger et au moins pour deux repas par jour le fait de trouver une jeune femme à charmer. J’avais bien compris à Poudlard que mon charme me permettait d’avoir tout ce dont j’avais besoin de la gente féminine et cela doit également fonctionner avec les hommes, mais ne m’intéressait pas dans les besoins de gîtes pendant mes voyages. Au cours de mes voyages, je pris divers petits emplois pour me payer parfois des hôtels, des repas et mêmes certains objets ou ingrédients de potion dont j’avais le besoin sur le moment. Je complétais mes enseignements de Poudlard dans diverses branches avec des experts et j’appris même une base dans plusieurs langues, sans les parler couramment. C’est lors de mon séjour en Russie où j’enrichissais comme dans tous les pays de l’Est ma culture en magie noire, que passant devant une animalerie sinistre, je croisais le regard d’un serpent. J’entrais, je pris le reptile, je le payais et je rentrais à mon hôtel. Là je découvris mon nouvel animal de compagnie, un serpent, type boa constrictor, mais sans l’être se nommant Nagini.

Je voyageais ainsi durant plusieurs années, avant de finalement me présenter devant Albus Dumbledore nouveau directeur de Poudlard en 1955, afin de lui demander le poste de professeur de défense contre les forces du mal. A mon grand étonnement il accepta, mais c’était peut-être uniquement pour me garder à l’œil. Quand je ne donnais pas des cours les années qui suivirent, j’allais souvent voir Saoirse et Agathe, qui m’étaient devenues chères avec le temps. Je quittais ma profession de professeur à la fin des années 1960, emmenant avec moi Kaliya, la basilic de la chambre. Je la fis emménagé dans mon manoir, un manoir ancestral ayant appartenu à la famille Gaunt, que j'avais racheté quelques années plus tôt. J'entrais en 1970 au poste de briseur de sortilèges pour Gringotts, ce qui me permettait de voyager et d'en découvrir d'avantages sur les différentes magies en plus de faire un travail me rapportant un peu d'argent. Je vis bien des pays et monuments durant les années qui suivirent et je m'épanouissais bien plus que lorsque j'étais professeur. Je croisais encore certains de mes anciens élèves, dont une était devenue ma collègue, Bellatrix. Sûrement une des jeunes sorcières les plus intéressantes que j'avais rencontré et nous passions de bons moments en mission ensemble, surtout que nous aimions tout deux les duels. Il n'était pas rare de nous voir participer à des concours de duel dans les lieux où se tenaient nos recherches.

Je voyageais toujours avec Nagini, il était hors de question pour moi de ne pas emporter ma camarade reptilienne avec moi. Je laissais Kaliya dans le manoir Gaunt, je ne voulais pas qu'elle tue n'importe qui, elle n'avait ordre de ne tuer que des sang-impurs, des sang-de-bourbe ou des moldus en somme. J'avais depuis ma sortie de Poudlard, bien plus de contact avec d'anciens camarades d'écoles ou leurs descendances. Que des personnes partageant la même idéologie que moi, celle prônant la supériorité des sang-purs. Je tentais grâce à ces personnes, de faire passer de nouvelles lois pour les sang-purs et bien d'autres petites actions. Mes camarades d'idéologie, n'étaient pas au courant que pour ma part, dès que je pouvais, je ne me faisais pas prier pour tuer des êtres m'étant inférieurs. J'avais toujours aimé tuer, depuis l'enfance et c'était une chose qui ne me quittait pas, pas plus que ma haine des moldus.


Le moldu derrière l'écran


Pseudo : Azalan
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